L’histoire musicale des débutants leur permet de s’initier avec le grand temps de la musique classique. Tout cela en écoutant une vingtaine d’extraits de musique. Le système de notation diffère d’un pays à l’autre et d’une époque à l’autre, et les interprètes doivent utiliser la science, l’imagination et le goût pour donner vie à la musique de cette époque lointaine.

Les périodes de l’histoire de la musique

Au sens strict, le classicisme spécifie une période de référence en termes de clarté et d’équilibre. En ce qui concerne la musique, elle peut se replacer entre 1760 et 1810. On utilise le terme période classique prolongée pour désigner la musique de la fin de la Renaissance au début du XXe siècle. Sur la base du ton commun de tous, l’harmonie est compliquée. Cette période sera l’apanage de la sélection des disques et styles de musique. Le XXe siècle décomposera le langage musical académique en plusieurs tendances concurrentes. Maintenant, passons en revue diverses périodes de l’histoire de la musique et de la chanson. D’un point de vue musical, la période de la Renaissance est une époque de transition, au cours de laquelle la tonalité s’instaure. On découvre une polyphonie divine séculière, extrêmement complexe et des instruments de musique profanes du point de vue de l’harmonie. Bien qu’ils soient encore un peu monotones, ils sont déjà très modernes, bien qu’ils soient encore quelque peu monotones à nos oreilles. La mélodie instrumentale précédemment improvisée était semi-écrite comme la tabulation de l’improvisation, puis écrite à la fin du XVIe siècle, par exemple avec des débutants anglais. 

Le chant grégorien et les premières polyphonies

On peut commencer par l’hymne grégorien, qui est encore accompli dans l’Église catholique aujourd’hui. C’est une chanson monotone avec une voix. Ils ont tous chanté la même mélodie. Chaque chanson a une certaine couleur uniforme parce qu’elle est basée sur des motifs, tout comme dans la musique indienne. Il s’agit de musique modale, suivie ensuite de musique tonale, ce n’est qu’à la fin du XIXe siècle que les modes primaires et secondaires ont été utilisés. Les œuvres tonales ne possèdent pas cette coloration uniforme, parce que la restauration des deux styles est compensée par la succession continue d’accords colorés différents aux notes superposées. Ensuite, on écoute un morceau de musique sacrée polyphonique du XIIe siècle avec beaucoup de voix, c’est-à-dire de nombreux sons simultanés. La polyphonie est l’un des signes de la musique classique des pays européens. La polyphonie bicolore est l’un des plus anciens enregistrements écrits de polyphonie. L’interprétation de la musique médiévale reste la spécialité des artistes et musicologues.

L’époque baroque

La musique baroque n’est pas extravagante. Le terme baroque est emprunté à l’histoire de l’art parce que les bâtiments à cette époque, en particulier les églises, étaient tous baroques. C’est-à-dire, baroque si l’on compare au style plus raffiné de la Renaissance. C’était particulier, plein de décorations particulières. Cette époque est baroque en architecture, mais pas en musique. Au début de la période baroque, l’influence de la chanson italienne était énorme. Elle faisait de la musique de l’Europe continentale, voire de la Pologne, une grande unité. Au début, la musique baroque était très moderne et pleine de nouveauté. Il a un fort pouvoir expressif, mais il ne surchargera pas le système nerveux du spectateur. L’homme est présent avec sa passion, sa souffrance et sa faiblesse, mais il fait toujours partie de l’ordre mondial gouverné par le Dieu. L’harmonie moderne est placée, les accords vont changer autour du centre de gravité selon des règles précises. On a parlé de musique tonale. La connaissance des contraires avec la science de la superposition des courbes mélodiques est au sommet de son développement. En particulier le plus grand compositeur de la période baroque tardive est Johann Sebastian Bach (1685-1750). La libération de la musique instrumentale est sur le point de s’achever. À l’époque baroque, l’improvisation était encore pratiquée au nom du Basso continuum, caractéristique de la musique vivante. Les musiciens suivent un cadre d’harmonie écrit à l’aide de symboles intelligents.

La musique instrumentale

Johan Pachelbel est né à Nuremberg et est connu pour son canon de basse têtu, bien qu’il ait créé des œuvres intéressantes pour clavecin et orgue. Dans Canon, la mélodie est d’abord jouée dans le premier son, puis la mélodie est jouée dans le second son de sorte qu’ils se chevauchent. Le fameux Pachelbel Canon est un vrai chaud et éclipse malheureusement le reste de ses œuvres. On écoute le début de ce célèbre Canon. Le concerto est apparu à l’époque baroque. Limité à l’origine à la musique vocale, ce terme désignait rapidement une forme de musique dans laquelle un groupe d’instruments lié au grosso ou un dialogue avec l’instrumentiste solo du groupe. En général, les concertos sont divisés en trois parties rapides, lentes et rapides. Cette habitude se perpétue encore sur les actualités. La partie centrale est en général étiqueté adagio ou lento qui signifie confort en italien. L’influence italienne se reflète même dans le vocabulaire.