Alors moi, je suis un jeune comme n’importe quel jeune de 20 ans que vous pouvez voir dans la rue. Ma différence c’est que je ne supporte pas les communications virtuelles : réseaux sociaux, textos et même les appels téléphoniques.

En fait je suis un peu un jeune qui regrette l’ancienne époque (sans l’avoir connue) où on faisait des connaissances face à face, où on échangeait des informations en face et où le téléphone était un outil de dernier recours.

Vivre sans téléphone…

Depuis mon enfance, je n’ai jamais eu de forfait, non pas par soucis financiers mais parce que je ne trouve pas l’utilité de payer pour parler avec des potes. Surtout que j’ai des potes qui me disent payer un forfait de 20 euros par mois mais qui n’appellent pas souvent… Après peut-être que tout ça fait partie de ma personnalité. Mais je pense vraiment qu’on peut vivre sans téléphone. On n’est pas tous sur une île à vouloir chercher à contacter des secours quand même !

J’ai bien essayé de faire comme tous les « jeunes ». J’ai eu un compte Facebook au lycée pendant deux ans. Je me suis inscrit au début car tout le monde en parlait et j’ai voulu savoir en quoi ça consistait. En allant dessus j’ai senti comme une perte de temps, et une certaine addiction : quand j’étais déconnecté je me demandais si sur mon compte j’avais des notifications ou pas. Du coup, je suis souvent passé de la phase activation et désactivation avant de le supprimer une bonne fois pour toute après deux années. Mes vrais amis m’ont donné raison et les amis intéractifs que je m’étais fait, beh je les ai oubliés. Après tout avant d’être sur Facebook, je me passais bien d’eux.

En fait, la communication chez moi c’est toujours réel

La communication virtuelle je n’en ressens pas l’utilité pour le moment, peut être que plus tard oui. Peut être qu’avec un emploi j’aurai besoin d’avoir un forfait, d’avoir à utiliser et gérer des réseaux sociaux pour une entreprise mais pour le moment parler à un écran je pense que je peux m’en passer ! Je refuse de faire comme les autres et parler à des écrans en trouvant ça normal alors que justement ça ne devrait pas l’air.